Cours d'Enigmatique du Sorcier, pour les universitaires

Erre dans la classe pendant que la jeune fille s'exprime. L'écoute avec attention bien qu'il considère avoir déjà cerné ce qui importait en lisant les 5 lignes de texte qu'elle avait rédigé.
Lorsqu'elle achève son explication, se contente d'ignorer son regard et de demander à la classe :

Quelqu'un a t'il un commentaire à faire là-dessus ?

Peu importe ce qu'il pense, lui. Pour l'instant, ce sont eux qu'il teste.

Face au silence, raille :

Et bien ? C'est tout ce que vous inspire votre camarade ?

Ricane puis se déplace. Se dresse devant la jeune fille et plante son oeil dans le sien. Déclare :

Ceci est un discours de moldue, "précieuse".

Laisse les mots et leur impact s'étendre sur toute la classe.

Affolée par cette affirmation qu'il lance comme si de rien n'était, et qui pourtant pourrait lui faire tant de mal, se force à prendre toute la distance nécessaire pour la détruire.
Aussi sur d'elle et tranquille que possible

Utilisez donc une autre victime pour faire votre spectacle... Et argumentez, vous qui semblez si bien les connaître, ces moldus dont vous parlez.

Se permet un rire franc, surpris, il faut bien l'avouer, par cette réaction qu'il considère comme bien plus parlante que tout le reste.

"Mon" spectacle ?

Franchement amusé :

Suis-je le seul en représentation ?

D'un mouvement leste de la main, écarte cette dernière remarque afin d'en revenir à ce qui lui importe.

Il est amusant de vous voir vous poser en victime face à moi. N'est victime que celui qui se présente en tant que telle.

Hausse les sourcils d'un air entendu, clairement moqueur.

Il est également perturbant de vous entendre insinuer que je connais bien les moldus alors que votre réflexion nous compare, nous, sorciers, à ce que sont les moldus. C'est ce choix qui est perturbant, car jamais il n'a été dicté ni sous-entendu dans la consigne. Je n'ai fait que les citer en réponse à vos discours.

Se tourne vers Draco Malfoy.

C'est ce qui ressort aussi chez vous, "blondinet". Si vous ne comprenez pas pourquoi cela m'intrigue, je n'ai plus qu'à crier "à l'imposteur".

Quelque peu méprisant :

Vous sentez-vous donc si inférieur, que vous ayez besoin de me persuader du contraire ? Comparez-vous donc à un elfe de maison, la fois prochaine !

Cassante de calme et d'assurance.

Interprétation totalement déplacée et non avenue. Vos tentatives de provocation sont ridicules.

Je suis bien loin de ce genre de considération.

Se tourne vers les autres élèves.

Et le fait est, que je serais curieuse de savoir si quelqu'un d'autre que vous avait effectivement entendu le mot "moldu" dans mes propos avant que ce cher enseignant ne l'insinue; si d'autre que vous pensent aussi que la recherche du progrès de la civilisation est l'apanage des moldus.

revient sur barker et conclue

Que mon discours puisse s'apparenter au leur ne me fait pas peur. Leur existence m'indiffère. J'ai des choses plus important à penser. Pas vous?

Répond à son appel, se tourne en direction de sa "camarade de classe" et de sa petite voix redevenue calme presque fragile:
Puisque tu sollicites notre avis je vais te donner le mien, à moins que ce ne soit une question rhétorique?
Attend, le visage détendu et les bras croisés.

Mais je t'en pris.

Peut-être suis-je dans l'erreur mais je pense que tu n'as pas compris ce qu'a voulu dire Mr le professeur.
Jette un rapide coup d'œil en direction de Mr Barker -par réflexe, presque comme si elle attendait son aval, l'aval d'un supérieur hiérarchique, peu habituée à prendre la parole d'elle-même- et nerveuse car consciente du fait qu'elle s'était lancée dans quelque chose de périlleux et d'incertain, chose qu'elle ne pouvait plus arrêter,
se concentre un peu plus afin de s'exprimer le plus clairement du monde et continue ce qu'elle a entrepris.
A son prof:
Je me permets de dire cela car je pense que vous avez buté sur la même chose que moi,
en regardant à nouveau Artémis:
Je ne comprends pas pourquoi tu dis que "trop nombreux sont ceux à cacher le fait d'être sorcier"?..
Nous sommes des sorciers, nous possédons des pouvoirs, tous autant que nous sommes et nous vivons dans le monde sorcier, je ne vois pas de qui nous nous cacherions?
Et tes paroles résonnent pour moi comme celles d'un moldu qui s'émerveillerait de découvrir l'existence de pouvoirs, d'un autre univers et qui vivrait en comparant son monde non magique au notre.
Je tiens à dire que je ne parle pas ici du fait d'avoir une réflexion par rapport à la question du développement de ses capacités magiques mais bel et bien du fait que tu dises "qu'être sorcier est notre vie" ce qui est plus qu'évident, "ou du moins que ça le devrait"... là non plus je ne comprends pas.
Ca le devrait? Nous ne pouvons pas ne pas être sorcier, c'est notre condition première,alors pourquoi le spécifier? A moins de penser comme un moldu.
L'Homme ne compare pas sa condition à celle de l'animal que je sache?

Entends-tu ce que je ne comprends pas dans ton discours et pourquoi moi aussi je le qualifierais de discours de moldu?

Ricane devant tant de... Candeur.

Voila qui ne m'étonne pas de toi... Un peu plus de notre professeur je dois dire. Et le fait est que c'est tout simplement vous qui n'avez pas comprit.

Perplexe

Que puis-je dire? Il suffit de regarder notre histoire. ça fait des siècles et des siècles que les sorciers passent leur temps et leur énergie à se cacher, à nier ce qu'ils sont par peur de l'assumer.
A cause de ces gens qui justement accorde trop d'importance aux moldus. Je ne m'émerveille pas face à ces pouvoirs... Je déplore uniquement qu'ils soient restés si longtemps gâchés. Comme le signifie le mot "royauté" qui semble vous avoir échappé... J'estime aussi qu'il faut laisser derrière soi ces années à n'être qu'un ministère caché pour devenir une monarchie révélée.

Reste-t-il encore des remarques déplacées que vous aimeriez formuler? Du genre de... "Mais ma chère, tout ceci est acquis, ces siècles ne sont rien quand on a deux mois pour les effacer!"

Hausse un sourcil méprisant

Il suffit d'y croire...

"Voilà qui ne m'étonnes pas de toi"? Je te demandes d'expliciter tes propos en toute honnêteté, dans le cadre d'un débat d'idées et tu me réponds... ça?!
Blase froide sur son visage.
C'est toi qui est méprisable pour le coup, arrête donc de simuler le fait que tu es ouverte d'esprit, tu ne l'es pas et ceux sont tes paroles et ton mépris qui le prouvent.
Je ne réagirai donc pas à tes arguments car je ne désire pas débattre contre une personne qui ne sait pas respecter ses adversaires. Quelle est la prochaine étape? Insulter nos proches? Je ne sais pas tout cela est tellement absurde...
Bref, les joutes sont constructives pas les combats de rue.
Je me retire.
Tourne lentement la tête, se replace dans l'axe, déçue et confortée dans l'idée que les gens se valaient tous et qu'il était bien inutile de débattre de ses convictions car la majorité des gens est foncièrement malhonnête.

Hausse les épaules, l'air de dire comme tu veux.

Le fait est que tu as cette délicieuse tendance déclarée à attendre le pire de moi.

Je ne tiens pas à te détromper si tot.

Sans se retourner:
"Le fait est que TU blabla et bla" ...et encore un jugement hâtif et arrêté et tout cela en moins d'une heure de cours... et après c'est moi qui ait hérité du surnom de "fanatique".
Fait un geste las de la main histoire de dire "laisse moi tranquille" et sourit à son professeur, ne sait pas pourquoi elle fait ça, commence à trouver ce cours drôle.

Se permet de reprendre le flambeau, puisqu'il en est ainsi, après avoir fait taire Price. S'adresse à toute la classe bien que son attention soit portée plus précisément sur Prewett et son voisin afin de les pousser à aller plus loin :

Les sorciers n'ont pas peur de s'assumer. Ils craignent leur propre gouvernement et sont lâches. Les pions obéissent aux hautes instances les yeux fermés, sous peine de punition. Pourquoi vouloir régner sur le monde moldu, "précieuse" ? Pourquoi parler de monarchie révélée ? Les moldus sont des larves, il n'est pas question de cohabitation mais de les écraser.
J'ai qualifié votre discours de "moldu" parce qu'il les prend en compte. Vous dîtes que les sorciers se cachent, or ils ne se cachent que des moldus.

Hausse les épaules :

Pourquoi en parler ? Faites-vous partie du gouvernement qui les protégeait ? Il me semble que vous êtes un peu jeune pour cela, non ? Alors je réitère ma question : pourquoi avoir ne serait-ce que l'idée de les citer dans votre réflexion ?

Montre Malfoy du doigt.

C'est valable pour vous également, "blondinet".

Revient à Prewett.

C'est ce fait, et ce simple fait, qui est étonnant.

Lève les yeux au ciel, encore, s'amusant quand même de tout ça, au fond.

Encore une fois, je n'ai pas cité les moldus, et les inclus encore moins dans ma réflexion.
Il s'agit uniquement d'exister pour tout ce qui a de l'importance: nous, sorciers.

Cessez de me prêter des pensées et des paroles qui ne sont pas miennes. Si vous tenez tant que ça à ce qu'on aborde le sujet des moldus et de leur "parcage" ou je ne sais quoi d'autre, faite-le donc en votre nom. Pour ma part, ils peuvent bien s'ébrouer en liberté, tant qu'ils ne m'affectent pas ni ceux qui décident, je n'en ai cure. Qu'ils osent seulement essayer de se prendre pour ce qu'ils ne sont pas, et ils seront facile à remettre à leur place.

Non. Quand je parle de se cacher, les moldus ne sont qu'une excuse. Tout le monde cherche une peur qui n'a valeur que d'excuse pour ne pas se confronter aux limites réelles. Celles qui une fois dépassée permettent réellement d'avancer.

Mime encore un des ces pleutres qu'elle méprise

"oh non... Ne cherchons pas à nous améliorer... ça ferait trop de bruit, on pourrait découvrir que nous existons..."

Retrouve sa voix et sa force normale

Ou alors, on prendrait le risque de découvrir que nous ne sommes pas capables d'amélioration! Tout simplement.
En fait, je n'en veux pas aux moldus, ils sont trop pitoyables d'inconsistance. Non, j'en veux aux faibles, ceux à cause de qui nous avons tant attendu avant de nous révéler. Car c'est aujourd'hui, que nous devenons véritablement des sorciers. Et que cette errance ne fait que commencer à mes yeux, alors que trop nombreux sont ceux qui se contenteront encore et toujours de s'attarder sur de faux problèmes, parce qu'ils ont peur de se remettre eux-même en question.

Sévère :

Lorsque je vous dis qu'il faut apprendre à écouter, c'est pour vous éviter de répondre sans cesse en niant, comme vous venez de le faire pour la simple et unique raison que, fixée sur votre idée, vous ne prêtez pas attention à ce qui se dit. En parlant de l'existence d'un "nous" en tant que sorcier et en disant de ce "nous" qu'il se cache, vous citez indirectement les moldus. Je ne vous prête là aucune pensée ni parole, il s'agit d'un fait. Ais-je tort ?

Patiente, décide d'y aller doucement puisque ses explications prenaient l'allure de négation.

oui, vous avez tord. Les sorciers se cachent d'eux-mêmes. Le problème moldu n'est qu'une diversion pour l'esprit.
Le fait est que dans cette société les moldus ont une importance bien trop grande, et que à l'image de cette pensée que vous aimeriez m'imputer, bien trop de personne définissent le monde des sorciers par rapport aux limites imposées par les moldus. Pour ma part, je rêve d'une vision du sorcier qui n'en tienne pas compte. Qui se contente de s'épanouir sans perdre de temps.

Peut-être comprendrez vous ainsi pourquoi je nie avec tant de force ces propos que vous essayez de m'attribuer. Ils sont à l'opposé de ce que j'essaye de faire passer.

Le monde est peuplé de personne qui s'accrochent désespérément, qui protègent leur maigre possessions et acquis. Ils sont là, petits et voûtés, continuellement, se contentant de peu par peur de le perdre en tentant d'avoir plus. Il en a toujours été ainsi. Et c'est pour éviter de faire face à ce genre de vision que des gens s'arrêtent au "problème" moldu. Dans ma vision, le sorcier se porte droit, il est "royal" dans son ambition et son comportement.

A ce niveau, vous pouvez bien me répondre qu'il y a bel et bien un "problème moldu" qui mérite toute notre attention, que je ne suis que prétention à croire etre la seule à avoir trouvé le maux de notre société et à me croire meilleure que tout le monde, que j'ai mal comprit le questionnement de départ, ou même que je suis parjure! Que sais-je! mais par pitié, ne me répétez pas que je m'inquiète pour les moldus! Ou je vais me taper la tête contre les murs à force de tourner inutilement en rond...

L'écoute avec attention. Très calme et patient, bien que pourvu d'une certaine froideur qui le caractérise malgré lui :

A quel moment ais-je dit ne serait-ce qu'une fois que vous vous inquiétiez pour les moldus ? Vous m'accusez de déformer vos propos, or c'est vous qui êtes en train de déformer les miens.
Le fait est que je vous ai effectivement provoqué pour obtenir de vous une réflexion plus poussée.

La cite :

'Trop nombreux jusque là étaient ceux qui se contentaient de cacher qu'ils sont sorciers.' C'est de là que part votre incompréhension.
J'estime que les sorciers ne se cachent que des moldus. C'est la raison pour laquelle j'ai établi le fait que vous parliez indirectement des moldus dans votre discours. A présent, vous me prouvez que j'ai tort. Soit. Vous ne parliez pas d'eux mais du fait que les sorciers se cachent d'eux-mêmes. J'ai parfaitement compris votre point de vue. Ce qui n'empêche pas à votre argumentation de faire sans cesse référence aux Sans Pouvoirs, en fin de comptes.

Ouvre la main en sa direction.

L'explication que vous venez de fournir est celle à laquelle je souhaitais vous amener dès le départ.
Lorsqu'on exprime une idée, il est préférable de ne pas le faire en surface comme vous l'avez fait lorsque je vous ai demandé d'expliciter ce que vous entendiez par vos 7 mots. Il était pourtant simple d'agrémenter votre pensée de la suite dont vous venez de nous faire offrande : à savoir que les sorciers se cachent d'eux-mêmes.

Citation :

A quel moment ais-je dit ne serait-ce qu'une fois que vous vous inquiétiez pour les moldus ? Vous m'accusez de déformer vos propos, or c'est vous qui êtes en train de déformer les miens.

Se permet juste un petite commentaire du genre "ça ne fait pas plaisir hein...?" alors qu'elle sourit moqueusement.

Pour le reste, chacun faisait son boulot comme il l'entendait... Mais elle ne pouvait pas dire que la façon de faire de Barker l'avait convaincue.
A trop mettre les élèves le nez dans le mur, il finirait par ne les amener nul part. Encore heureux qu'elle même ai tenu à se faire comprendre.

Citation :

Ce qui n'empêche pas à votre argumentation de faire sans cesse référence aux Sans Pouvoirs, en fin de comptes.

Tout le monde ne pense qu'à ça... Comment faire autrement...?

Pour le reste, le laisse dire. De toute façon, elle ne pourrait jamais contrôler la façon de penser des autres et les empêcher de partir sur une fausse piste dès que l'occasion se présente. Il restait tout de même désolant de voir qu'on s'obstine à lui mettre ça sur le dos... Alors qu'il suffisait, le moment de l'incompréhension venu, d demander des éclaircissements plutôt que de se laisser imputer à l'autre des pensées fausses. Surement faisait-elle l'erreur de trop attendre qu'on la comprenne, mais il serait bien que chacun assume sa part d'erreur...

Soupire de lassitude.

Oui, bien sur, la prochaine fois j'aurais appris la légilimancie et saurait exactement quels points pourrons vous poser problème d'avance. C'est ainsi que ça marche.

Petit sourire conciliant.

Je ferrais de mon mieux, professeur.

Sourit et déclare sur le ton de l'évidence :

Mais aucun point ne m'a posé problème, "précieuse". Vous venez d'admettre vous-même qu'on ne peut faire autrement que de penser aux moldus, ce qui est le point précis auquel je voulais nous amener. La prochaine fois, je ferai montre de moins d'artifices pour y parvenir, dans le doute de vous voir vous perdre en route de nouveau le cas contraire.

Ne pense, bien évidement, pas un mot de sa dernière phrase.
Se redresse et se met à arpenter la classe. Explique avec sincérité, de façon simple :

Tel que vous me voyez devant vous, je ne fais que vous tester. Ma méthode consiste à vous provoquer, à insinuer, tromper, jouer. Ce n'est pas gratuit, je souhaite vous pousser à réagir. Quelle que soit la manière de le faire. De la même façon que j'userai de n'importe quel moyen pour obtenir des réactions. Cela me permet de me faire une idée de vous.

Se stoppe.

Chacun se forge son idée propre sur ceux qui l'entourent. Bien souvent, un schéma se dessine seul. A partir de ce que l'on donne à voir de soi-même, à partir de ce que l'on dit ou fait. Nous sommes ce que les autres pensent que nous sommes. La réalité ne compte pas.
Cette image que vous portez comme un costume permanent, je compte la saisir afin de mieux la détruire. Car j'estime qu'il est nécessaire de se débarrasser de tout artifice afin de se révéler. Peu importe ce qui se cache derrière. Il n'est question que d'assumer. L'introspection est de mise car c'est elle, et elle seule, qui vous fera prendre le recul nécessaire sur ce que vous êtes et ce que deviendra votre vie. Avoir conscience de son être est impératif pour donner sens.

S'amuse de lui, puis reprend :

Ne vous en faites pas, je ne prétends pas pour autant à jouer le rôle de Psychomage.

Regarde chacun des élèves présents.

Lors de nos prochains cours, je reprendrai les éléments dont vous avez fait part afin de les creuser. Je vous pousserai également à en établir de nouveaux afin de les approfondir par la suite, toujours et encore. C'est ainsi que cela fonctionnera.
Nous étudierons aussi un peu plus de concret, d'Histoire, de courants. C'est une étape nécessaire.
Si vous avez envie d'aborder un sujet, de vous exprimer, de suggérer des idées, faites-le. Si vous souhaitez discuter avec moi, je suis disponible. Vous trouverez mes heures de permanence sur le tableau d'affichage à l'entrée.

S'impose par la posture qu'il prend, droit et fier d'apparence.

Avez-vous des questions à propos de ceci ?

Juste histoire de, lève une main, et demande

Pour tout ce que vous vous proposez de faire... Ne pensez vous pas que nous serions mieux, nus, dans une clairière au fin fond de la foret à boire du nectar de fée?

Je suis sure qu'ainsi nous atteindrions des sommets de réflexion et de dévoilement.